Les flux économiques
I- Définition
Le flux est déterminé comme une quantité de mouvements au cours d’une période déterminée, les flux démographiques, par exemple. En économie, les flux sont décrits comme l’ensemble des mouvements de biens et de valeurs qui se produisent dans un intervalle de temps déterminé. Le rôle de la comptabilité est d’enregistrer ces mouvements en unités monétaire. Tout flux doit être caractérisé par son sens et sa valeur :
- Sens : origine et destination
- Valeur : en unité
II- Classement des flux
On peut classer les flux en flux réels ou financiers, si l’on considère la nature des flux, les flux peuvent être également externes ou internes si l’on considère le nombre d’agents :
► Les flux réels : constatent les mouvements de biens et services ;
► Les flux financiers : représentent les mouvements de monnaie et moyens de règlement ;
► Les flux externes : relient l’entreprise avec les différents agents économiques ;
► Les flux internes : constituent des mouvements de valeurs observés à l’intérieur de l’entreprise.
Après avoir définir ces flux ; il convient de les enregistrer : c’est le but de la comptabilité générale. Cette dernière enregistre, en effet, les différents flux qui caractérisent l’activité économiques de l’entreprise.
III- Sens d’un flux
Chaque flux économique a un point de départ et un point d’arrivée. Il a donc une origine et une destination. On peut schématiser un flux de la manière suivante :
L’origine du flux est la ressource qui permet sa réalisation la destination du flux, est l’emploi qui est fait de cette ressource. En effet chaque opération effectuée par l’entreprise entraîne alors on moins une ressource et un emploi.
Exemple :
L’entreprise SAFAM a réalisé les opérations suivantes :
1°) Achat de marchandises au comptant en espèces (500 DH).
2°) Ventes de marchandises par chèque bancaire (10.000 DH).
3°) Paiement des salaires par chèque (250.000 DH).
4°) Paiement d’un fournisseur par chèque bancaire (50.000 DH).
5°) Vente de marchandises à crédit (150.000 DH). 6°) Encaissement des créances clients par chèque bancaire (65.000 DH).
7°) Achat de marchandises (moitié an comptant par chèque, moitié à crédit (100.000 DH). 8°) Emprunt à une banque (250.000 DH).
9°) Remboursement d’un emprunt (nominal et intérêts) par chèque (170.000 DH).
Solution :
l'article suivant : Les fondements de la comptabilité générale
Le flux est déterminé comme une quantité de mouvements au cours d’une période déterminée, les flux démographiques, par exemple. En économie, les flux sont décrits comme l’ensemble des mouvements de biens et de valeurs qui se produisent dans un intervalle de temps déterminé. Le rôle de la comptabilité est d’enregistrer ces mouvements en unités monétaire. Tout flux doit être caractérisé par son sens et sa valeur :
- Sens : origine et destination
- Valeur : en unité
II- Classement des flux
On peut classer les flux en flux réels ou financiers, si l’on considère la nature des flux, les flux peuvent être également externes ou internes si l’on considère le nombre d’agents :
► Les flux réels : constatent les mouvements de biens et services ;
► Les flux financiers : représentent les mouvements de monnaie et moyens de règlement ;
► Les flux externes : relient l’entreprise avec les différents agents économiques ;
► Les flux internes : constituent des mouvements de valeurs observés à l’intérieur de l’entreprise.
Après avoir définir ces flux ; il convient de les enregistrer : c’est le but de la comptabilité générale. Cette dernière enregistre, en effet, les différents flux qui caractérisent l’activité économiques de l’entreprise.
III- Sens d’un flux
Chaque flux économique a un point de départ et un point d’arrivée. Il a donc une origine et une destination. On peut schématiser un flux de la manière suivante :
Exemple :
L’entreprise SAFAM a réalisé les opérations suivantes :
1°) Achat de marchandises au comptant en espèces (500 DH).
2°) Ventes de marchandises par chèque bancaire (10.000 DH).
3°) Paiement des salaires par chèque (250.000 DH).
4°) Paiement d’un fournisseur par chèque bancaire (50.000 DH).
5°) Vente de marchandises à crédit (150.000 DH). 6°) Encaissement des créances clients par chèque bancaire (65.000 DH).
7°) Achat de marchandises (moitié an comptant par chèque, moitié à crédit (100.000 DH). 8°) Emprunt à une banque (250.000 DH).
9°) Remboursement d’un emprunt (nominal et intérêts) par chèque (170.000 DH).
Solution :
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